- Pfiou ! Il est tard ! J'vais rentrer !Anarandil c'était attardé à la bibliothèque elfique. Pour retourner à sa tente, il devait passer par la forêt qui entourer le camp. Une fois qu'il eut pénétré dans la forêt, il aperçut un homme, menaçant. L'elfe sortit immédiatement son bâton et le pointa sur le mystérieux individu.
- Qu'est-ce que tu crois ? Hein ! Il suffit que je te prive de ta baguette et tu es sans défense !Une flèche percuta le bâton qui tomba à terre.
- Tu n'es donc pas venus seul, lâche ! annonça le magicien...
- Allons, approche ! Viens te battre !Anarandil attrapa discrètement les couteaux elfique qu'il dissimuler sous sa cape, et, aussi rapide qu'un éclaire, il était déjà derrière le bandit. Il le saisit à la gorge avec ses fines lames et cria :
- Je tiens votre chef ! Déposez vos arcs à terre si vous tenez un tant soit peu à lui !Rien ne se passa, ils le visaient encore tous lui et son otage.
- Tirez ! Tuez le ! Chien-noir ! Décoche donc cette flèche ! Egaillez-vous les gars ! Et transpercez lui son petit coeur de fumier ! hurla le forban.
- Tu perds ton temps ! Si ils tirent, tu meurs...- Tu n'oseras pas !Une nouvelle flèche transperça la nuit, mais, avant d'atteindre son but elle fut arrêtée et brisée en deux. Comme si un mur invisible c'était interposé devant elle.
- Vous l'aurez voulu...Ut vestri animus sileo procul pacis...L'elfe appuya sur les couteaux et trancha la gorge de son assaillant. Il récupéra son bâton et se précipita au camp en évitant les flèches qui virevoltaient au-dessus de lui.
Une fois devant sa tente, il entendit quelqu'un ou quelque chose à l'intérieur de celle-ci.
- Encore ! J'ai assez eux de problème aujourd'hui ! grommela-t-il.
Il entra et vit un fourreu, dévorer à pleine dents le steak que Tikal avait gentiment mit de côté en voyant qu'il n'était pas là au souper.
- Ah ! Tu m'as fais peur ! Il est bon mon steak ? Ha ha ! Je vais en chercher un autre, tu viens avec moi ?Il sortit de la tente suivit de la mignonne bête. Il alla chercher un peu de viande au garde-manger. Il s'assit sur le tronc d'arbre près du feu et mit son repas à cuir. Il l'avala rapidement et retourna dans ses quartiers.
- Tu veux dormir avec moi ? D'accord ! Rentre !La petite bête se faufila dans la tente et trouva vite une place pour s'allonger. Anarandil ne tarda pas à l'imiter, et commença à lui parler :
- Tu m'aimes bien hein ?
Le fourreu secoua la tête comme pour approuver les dires du jeune elfe.
- Ah ! Il va falloir que je te trouve un nom ! Euh.... Hum... Coco ! C'pas magnifique comme nom ça ! Non ?! T'aime pas ! Bon alors.... Rilo ! C'est bien ça ! Riri ! Hahaha ! J'me demande bien ce qu'ils vont penser de toi les autres ! J'vois déjà Hadès râler en me disant : Tss' ! C'pas une animalerie ici !Après ces belles paroles, fatigué, il s'endormit avec son nouveau compagnon...
[HRP] Voila ! Rp ouvert ! A vous de voir si vous voulez répondre, ou non !
P.S. : "Ut vestri animus sileo procul pacis" <<< Ca signifie " que ton âme repose en paix " en latin !
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